Il faut vanner le grain pour en séparer la balle (enveloppe du grain dans l'épi) et les poussières. On profite pour cela d'un jour de vent, et on utilise des tamisq ue l'on incline et remue doucement, de façon que le grain tombe à la verticale, tandis que le courant d'air emporte les corps léger. Mais au cours de la première moitié du siècle apparaît le tarare, van mécanique à manivelle qui, d'un souffle puissant, fait voler la balle en nuage doré.