Or à cire perdue ; 17 cm. Le disque en or, entièrement fondu à la cire perdue, ou recouvert de feuilles d’or martelées et repoussées, constituait déjà un élément central des anciens colliers en or. Chaque akrafokonmu se distingue par sa décoration plus ou moins élaborée, par un tracé de lignes le divisant en quatre ou en huit, et par l’organisation spatiale d’ornements floraux complexes entrelacés d’arcs en fils d’or.