Au cours du séjour écossais du duc de Bordeaux, son professeur de dessin, d’Hardiviller, réalise un album de onze lithographies représentant les activités du prince en exil. On le découvre pendant ses leçons, ses distractions quotidiennes ou dans des scènes familiales plus intimes. L’album paraît simultanément en 1832 à Paris et à Édimbourg sous le titre « Une journée du jeune exilé ». La diffusion de ces gravures contribue à parfaire l’image du jeune prince, à la fois proche et lointain, absent et pourtant présent.
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