des rapports englués dans les roles - les place devant des
découvertes qui, intuitivement devinées dans leurs grandes
Tignes,se présentent riches de détails dans la vie de chaque
femme soucieuse d'aller un peu plus loin que les solidarités
apparentes. Elle oblige à constater que l'homme trouve mille
ressources pour se fuir lui-même idéologie et fonction
sociale pour ne vivre la crise que dans la faible mesure où
elle l'aide à évoluer, à se sentir réceptif. Société et
culture le secondent dans son droit à des privilèges
ataviques: sa personne est unique et lorsqu'il se mesure à
la femme, c'est seulement parce qu'elle représente un point
ferme dans l'estime qu'il a de lui-même. Une fois son
équilibre recomposé ailleurs, l'aiguillon de
l'auto-conscience cesse et commence la discussion à
vide...Pour la femme, rater la vie de relation c'est rater
sa vie.Pour l'homme ,le problème est de ne pas perdre la
femme comme soutien -Sa plus secrete aspiration étant
qu'elle soit credible dans le jeu des roles.. Voilà ou
iantervient le fameux reflux que connait le féminisme: une
fois tombée l'illusion de réveiller l'authenticité du monde-
premisse de rapports humains dignes de ce nom-
ons
prendre acte du fait que la solution interne, entre femmes
seulement, quand elle a lieu, n'est que partialXe et ne
correspond pas à la vastitude des désirs. Pourquoi cette
vérité est-elle aussi dure à avaler ? Pourquoi n'est -elle
pas le point de départ d'une nouvelle phase ?Voilà ou le
texte de
Moderata Fonte " Le mérite des femmes ! est pour