En constante recherche d’innovation, Philippe Bigard dépose un quatrième brevet d’invention pour un appareil plongeur sous-marin en 1851. La tête, les bras, le buste, les cuissards et les bottes de l'appareil sont en cuivre ou tout autre métal. A ces diverses parties sont soudées des brides métalliques qui reçoivent le cuir recouvrant toutes les articulations faites de pièces en fer L'entrée et la fermeture de l'appareil est en écharpe et avec brides. Devant le visage du plongeur est placée une vitre ronde grillée. Devant les oreilles se trouvent des tampons vissés s'ouvrant à volonté pour la respiration en surface. Les tuyaux d'alimentation en air sont en cuir, placés parallèlement et liés ensemble tous les cinquante centimètres. A l'un est raccordé un soufflet et à l'autre un porte-voix pour la communication qui sert aussi à évacuer l’air vicié de la respiration. Ce nouvel appareil a beaucoup de similitude avec les modèles antérieurs. Les progrès résident dans l'étanchéité des articulations
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