À la Révolution, les privilèges seigneuriaux sont abandonnés, chaque exploitant peut faire ériger son pigeonnier. Le Lot-et-Garonne voit ainsi ses paysages se hérisser de ces petites constructions, aux types variés. En effet, la région n'est pas terre d'élevage et le fumier se fait rare. La colombine est donc le meilleur moyen de fertiliser les terres de la Moyenne Garonne. Ainsi, on compte, encore aujourd'hui, plus de 6000 pigeonniers dans le département. C'est le cas ici à Laparade.