Les restaurations de l'abbaye après la période carcérale ont duré plusieurs décennies et ont également permis quelques fouilles archéologiques. Les traces de l'époque monastique ont survécu tant bien que mal, comme l'illustre cette peinture murale, dégagée en 1988, à demi-effacée située dans l'église abbatiale, qui représentait le comte Raymond VII de Toulouse, petit-fils d'Aliénor d'Aquitaine et d'Henri II Plantagenêt.