«Donc il s'agit d'un hobos , un sans-abris, vivant dans sa voiture, (chapeau de paille et doigts croises, trèfles dans la bouche) .Séparé par un mur, de l'autre coté d'une ville dévastée.
C'est pas juste de l’esthétique, j'ai voulu représenter la fuite d'un homme , quittant un monde qui se délabre , pour vivre heureux dans le terrain vague d'a coté, pour contrebalancer un peu avec une constance au murs colorés et super-positif, faisant de notre société un paradis rose, aidant peut être aussi a oublier un peu plus ceux qui sont dans le marron.» Vilx