Automne 1519. Un palais surgit au cœur des terres de Sologne, à l'orée d'une forêt giboyeuse. François 1er, jeune roi encore auréolé de la gloire de Marignan en ordonne la construction. Aux yeux de certains témoins, c’est un lieu retiré dans lequel le souverain invite sa « petite bande » mais cette seule définition ne suffit pas … C’est tout Chambord qui est un monument. Le parc, de la surface de Paris intra-muros, en est l’écrin, voulu et ordonné autour du château dès l’origine.
Ce monument est bien plus apparenté à un lieu sacré ou à une œuvre d’art qu’à une demeure, aussi grandiose soit-elle. C'est une création qui correspond à une intention conceptuelle et un dessein cohérent, une réalisation dont le but n’est pas à proprement parler utilitaire mais symbolique, esthétique et spirituel. De l’affirmation du pouvoir royal à la gratuité de la création esthétique, de la relation avec l’au-delà à l’évocation d’une cité idéale.
Comme le disait très joliment Monique Chatenet en reprenant l’intuition de son père, l’historien Martin Demézil, « Chambord est de la race de la Grande Pyramide ».
"PLAN DE L'EXPOSITION
1 Chambord au miroir du temps
2 Un palais de la Renaissance
3 Un domaine royal de chasse, écrin du château"
"1. Chambord au miroir du
temps"
"Un palais à la gloire de François Ier"
Les travaux débutent en septembre 1519 par la démolition de plusieurs bâtiments, notamment le vieux château des comtes de Blois, et par la réalisation des fondations du « donjon » carré flanqué de quatre tours rondes, unique bâtiment prévu initialement.
Sous la conduite de maîtres maçons français expérimentés qui se sont illustrés dans d’autres chantiers royaux du Val de Loire, les travaux vont bon train. Ils sont un temps interrompus après la défaite militaire de François 1er à Pavie face à son rival Charles Quint et sa captivité à Madrid. Puis, en 1526, le chantier reprend.
Le roi de France modifie alors son projet initial : il adjoint deux ailes latérales au donjon primitif, dont l'une doit accueillir son propre logis. Le donjon est achevé vers 1539 et l'aile royale (aile Est) en 1544. Un escalier à vis hors-œuvre et une galerie extérieure sont ajoutés à l'aile royale à partir de 1545, tandis que se poursuivent les travaux de l’aile symétrique (aile de la chapelle) et d'une enceinte basse fermant au sud la cour à la manière d'un plan de forteresse médiévale.
Chambre de François 1er, lit du premier gentilhomme de la chambre
"La fin des travaux"
Les travaux de l'aile de la chapelle se poursuivent sous le règne d'Henri II mais sont de nouveau interrompus à sa mort en 1559. Chambord entre alors dans une longue période paradoxale. Les rois n'y viennent que très rarement, le château n'est habité que par les concierges et le personnel d'entretien mais pourtant le monument fascine toujours ceux qui le visitent.
Il faut attendre le règne de Louis XIV pour que le projet initial soit enfin achevé. Le roi soleil prend pleinement conscience de l'enjeu symbolique du monument. C'est à ses yeux une manifestation du pouvoir royal inscrite dans la pierre et le temps.
Les travaux sont confiés à l’architecte Jules Hardouin-Mansart qui termine l'aile Ouest ainsi que l'enceinte basse, surmontée d'un comble brisé. C'est également à cette époque que les abords du château sont aménagés. Des écuries sont construites à l'extérieur du château et la rivière qui traverse le parc, le Cosson, est en partie canalisée pour assainir le site.
Le roi soleil réside à plusieurs reprises dans le monument en compagnie de sa cour. Ces séjours sont l’occasion de grandes parties de chasse et de divertissements. En 1669 et 1670, Molière accompagne le souverain à Chambord. Il lui présente pour la première fois deux pièces à succès « Monsieur de Pourceaugnac » et le « Bourgeois gentilhomme » dans un théâtre temporaire aménagé dans un vestibule du premier étage du donjon.
"Les aménagements du XVIIIe siècle
"
Au XVIIIe siècle, les travaux entrepris concernent essentiellement l'aménagement intérieur du château, qui n’est plus à cette époque le séjour des rois. Louis XV en dispose pour loger successivement son beau-père Stanislas Leszczynski, roi de Pologne exilé (entre 1730 et 1733), puis par le maréchal de Saxe en récompense de sa victoire militaire de Fontenoy (1745).
La nécessité d'apporter chaleur et confort à l'édifice pousse les différents occupants à meubler de façon permanente le château et faire aménager dans les appartements boiseries, parquets, faux-plafonds et petits cabinets. Entre 1748 et 1750 le Maréchal réside en permanence à Chambord avec une petite cour et son régiment de cavalerie, les Uhlans. Il décède au château de maladie en novembre 1750.
"Au XIXe siècle : un château privé"
Chambord est relativement épargné par la Révolution ; le château est pillé, le mobilier qui y restait est vendu mais le monument échappe aux destructions. Il connaît ensuite une longue période d'abandon avant que Napoléon n’en fasse don en 1809 au maréchal Berthier en remerciement pour ses services. Le domaine est rebaptisé « Principauté de Wagram », du nom de la bataille remportée par le maréchal. Ce dernier n'y fait qu’un court séjour et sa veuve demande rapidement l'autorisation de vendre cette grande demeure en mauvais état.
L'ensemble du domaine de Chambord est alors offert en 1821 par une souscription nationale au duc de Bordeaux, petit-fils du roi Charles X, né en 1820. Les événements politiques qui le conduisent en exil ne lui permettent pas d'habiter son château. Il ne le découvre qu’en 1871 à l’occasion d’un court séjour pendant lequel il rédige son célèbre « Manifeste du drapeau blanc » qui l’amène à refuser le drapeau tricolore. A distance pourtant, le comte de Chambord est attentif à l’entretien du château et de son parc. Il fait administrer le domaine par un régisseur, entreprend de grandes campagnes de restaurations et ouvre officiellement le château au public. Après sa mort, en 1883, le domaine passe par héritage aux princes de Bourbon Parme, ses neveux.
"Un domaine national
"
En raison de la nationalité autrichienne des Bourbon-Parme, le domaine de Chambord est placé sous séquestre par l'Etat en 1915. Il en devient officiellement propriétaire en 1930 par voie de préemption en contrepartie du paiement d’une indemnité aux héritiers du comte de Chambord. L'Etat prend le parti de présenter le monument dans son état le plus proche de la Renaissance en supprimant les mansardes de Louis XIV qui coiffent l’enceinte basse. C'est sous cette forme que se présente le château aujourd'hui.
La gestion de Chambord se partage ensuite entre plusieurs Offices publics et Ministères, chacune ayant autorité sur une partie du domaine. La volonté de réunifier le domaine de François 1er conduit l’Etat à créer par la loi du 23 février 2005 un Etablissement public industriel et commercial, qui dispose d’une unité de direction et de gestion.
Le château de Chambord est inscrit sur la première liste des monuments historiques en 1840, le parc forestier et le mur le sont en 1997. Il figure sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1981.
"2. Un palais
de la Renaissance"
"Chambord, entre Renaissance et inspiration médiévale"
Le château de Chambord est l’une des plus singulières constructions que le siècle de la Renaissance nous ait laissée. L’architecture est un savant mélange entre les éléments traditionnels de l’architecture médiévale française et ceux empruntés à la Renaissance italienne. Même si les quatre tours massives qui flanquent le donjon rappellent les forteresses médiévales, la conception du château et les éléments innovants qui le composent sont uniques.
Le plan centré du donjon, l’emplacement de l’escalier à double révolution, la clarté géométrique des façades et leur ornementation, la symétrie des bâtiments, le traitement des ouvertures et des circulations, la présence de voûtes à caissons au deuxième étage, sont autant de nouveautés mises en œuvre simultanément, qui font la singularité du monument.
Par ces deux inspirations, le château se fait ainsi l’instrument parfait de la propagande royale et le reflet de la personnalité de son bâtisseur : roi-chevalier, légitime, héritier des traditions françaises mais surtout homme de la modernité, capable d'inscrire son pouvoir dans la pierre, fasciné par les Arts et la Culture et inspiré par les meilleurs artistes de son temps.
Le donjon de Chambord, un immeuble ?
Au centre du château, le corps de logis principal s’impose par sa masse cubique à quatre tours massives aux angles. Il est appelé « donjon » en référence aux châteaux médiévaux, symbole de puissance militaire. A l’intérieur, quatre larges vestibules forment un plan en croix grecque, dont le centre est occupé par le célèbre escalier à doubles révolutions. Ce plan centré est tout à fait inédit en France pour un palais royal, le plan en croix étant habituellement celui des édifices religieux. Cette autre référence marque dans l’architecture la condition sacrée du roi de France.
Ce plan en croix détermine ainsi dans le donjon quatre quartiers d’habitation absolument similaires à chaque étage qui se composent chacun d’un logis « carré » et d’un appartement aménagé dans la tour d’angle. La distribution de ces logis est standardisée : on y retrouve une pièce à vivre de plus de 6m de hauteur, et des cabinets annexes entresolés servant de garde-robe, d’oratoire ou de pièce de travail.
Ces logis sont indépendants l’un de l’autre grâce aux vestibules, aux loggias (galeries ouvertes aménagées sur le côté d’un appartement carré) ou à un escalier appelé « de fond-en-comble », inséré dans l’épaisseur des murs de chaque tour, à la jonction entre un appartement carré et de tour. C’est une véritable sortie de secours : il permet de se rendre à chaque étage, depuis le rez-de-chaussée jusqu’aux combles du château !
Un plan qui se répète à chaque étage… une sortie de secours… des appartements privés, indépendants les uns des autres… et qui se ressemblent tous…
Chambord a été conçu comme un immeuble d’aujourd’hui !
"L’ombre de Léonard de Vinci
"
Le château de Chambord est une création architecturale exceptionnelle mais son auteur demeure inconnu. Certains historiens de l’art l’attribuent à un italien, tandis que d’autres soutiennent la thèse d’une création franco-française ou d’une collaboration d’artistes des deux nationalités. Au début du XXe siècle, l’intervention de Léonard de Vinci est pour la première fois envisagée.
Même si le génie « touche-à-tout » a pu prendre part à la conception du plan initial du donjon, son décès le 2 mai 1519 ne lui a pas permis d’en diriger la construction. Le plan centré du donjon, la présence d’un escalier à doubles révolutions, d’un système de latrines à double fosse de décantation et évent ou encore le système d’étanchéité des terrasses, sont autant d’indices qui pourraient faire de lui l’inspirateur de l’œuvre de François 1er.
"3. Un domaine royal de chasse, écrin du château"
Entièrement clos de murs, le domaine de Chambord s’étend sur 5 440 ha… l’équivalent de la surface intra-muros de Paris ! C'est le plus grand parc forestier clos d’Europe. Son histoire est intimement liée aux pratiques cynégétiques : les comtes de Blois, François 1er ou ses successeurs, profitent de son caractère giboyeux pour organiser de grandes parties de chasse au gros ou au menu gibier.
Siège d’une capitainerie royale des chasses durant tout l’ancien régime, tout y est mis en œuvre pour conserver une faune nombreuse, au détriment de l’habitat et des pratiques agricoles. Cependant, on ne peut oublier le grand dessein de François 1er de créer à Chambord, plus qu’une simple terre de chasse, un domaine digne d’un roi, écrin de verdure d’une demeure somptueuse.
"Aux origines du site de Chambord"
Pendant la période médiévale, le site est occupé par une petite communauté villageoise implantée autour d’un prieuré, d’un four banal et d’un moulin sur le Cosson, rivière qui traverse le parc de Chambord, ou par quelques hameaux et fermes. En outre, la riche faune du territoire, attire les comtes de Blois qui entretiennent à Chambord et dans la forêt voisine de Boulogne un équipage de vénerie et un haras. Ils y possèdent deux manoirs : celui de Montfraut, dont subsistent quelques vestiges au sud du parc, et l’ancien « château » médiéval de Chambord, qui devait occuper l’actuel emplacement du donjon.
"Le grand projet de François Ier
"
Le territoire de Chambord est rattaché au domaine royal à l’avènement du roi Louis XII, héritier des comtes de Blois. Quelques années plus tard, François 1er, décide d’implanter, au tout début de son règne, une nouvelle résidence en lieu et place de l’ancienne forteresse, et d’entretenir alentour un grand parc de chasse.
Le territoire initial n’est cependant pas assez vaste pour les ambitions du roi : il envisage d’acquérir les terrains privés limitrophes, en particulier les terres boisées du sud, pour constituer un immense territoire. Le roi se rend lui-même sur le site en 1523 pour marquer avec des piquets de bois les limites de son futur parc. Un maître ordinaire de la chambre des comptes de Paris est même chargé de négocier avec les propriétaires : des terres sont échangées avec d’autres terres royales ou achetées à bon prix. Cependant, certains propriétaires résistent : des enclaves subsistent à l’intérieur du territoire et François 1er ne parvient pas à annexer toutes les terres convoitées, comme la seigneurie de Thoury à l’est. A la fin de son règne, le domaine de Chambord semble atteindre 2 500 ha.
La surface du parc s’accroit au cours du XVIIe siècle, lorsque Gaston d’Orléans, frère de Louis XIII, poursuit l’œuvre du roi François. Entre 1643 et 1662, de nouvelles terres sont achetées ou échangées au sud-est du domaine actuel. Le parc atteint ses limites définitives et sa surface d’environ 5 540 ha.
"Un domaine clos
"
L’une des singularités du parc de Chambord est sa clôture totale par un mur maçonné destiné à créer un territoire royal d’exception et à conserver le gibier en son sein. Entreprise dès 1542, la construction du mur est seulement achevée au XVIIe siècle après l’acquisition des dernières terres.
Le mur constitue une véritable enceinte dans laquelle sont aménagées quelques ouvertures. Mais cette fermeture complète du parc entraîne de nombreux conflits avec la population locale qui ne peut plus traverser les terres de Chambord à sa guise. Les habitants des environs pratiquent dans le mur de nombreuses brèches, parfois assez grandes pour laisser passer des chariots entiers ! Le pouvoir royal doit édicter des sanctions sévères à l’encontre des délinquants. Mais ces actes de malveillance ne sont jamais éradiqués et le mur est l’objet de constantes réparations tout au long de l’Ancien Régime.
"Une capitainerie royale des
chasses
"
Les délits de braconnage et de vol de bois, quasi-quotidiens, sont également difficiles à éradiquer. Il est impératif pour le roi François 1er de protéger son domaine et la grande faune qu’il renferme. Il érige ainsi Chambord dès 1547 en capitainerie royale des chasses dont la mission est « la garde et la conservacion des boys et buissons, bestes rousses et noires ».
Nul n'est autorisé à chasser dans les terres du roi et des règlements stricts sont imposés aux habitants du parc et des environs pour favoriser la prolifération du gibier. L'agriculture doit peu à peu s'effacer au profit des activités cynégétiques et sylvicoles.
A la tête de la capitainerie se trouve un capitaine, assisté par quelques gardes, qui tentent d'appréhender les délinquants.
Au cours du XVIIe siècle, la capitainerie des chasses de Chambord accroît son autorité et son territoire au-delà du domaine. Le personnel de la capitainerie s’étoffe lui-aussi et compte une quarantaine d’officiers et de gardes chargés de faire respecter les règlements. Le capitaine et ses officiers assurent en outre le jugement des délits, qu’ils soient d’ordre civil ou criminel.
Ce renforcement du pouvoir crée d’importants troubles et la population locale lutte au XVIIIe siècle pour obtenir sa suppression. Le poids des règlements, les abus des officiers et gardes ainsi que les dévastations causées par la prolifération du gibier, notamment dans les territoires agricoles, pèsent sur les habitants. La capitainerie devient un symbole d’injustice, d’oppression et de destruction. En 1777, le roi Louis XVI supprime la capitainerie de Chambord par un édit dans lequel il reconnaît son inutilité ...
Le parc est alors confié au directeur des haras du royaume, le marquis de Polignac, qui y entretient une centaine de chevaux pour le roi. Puis survient la Révolution : tandis que le château est pillée et son mobilier vendu, le gibier de Chambord est décimé par la population locale, trop heureuse d’éliminer l’objet de ses anciennes frustrations.
"Les aménagements du parc
"
Au cours de l’ancien régime, le paysage du parc change profondément. Primitivement, les terres du nord du parc sont essentiellement agricoles ou composées de landes et de pâtures. Au sud, il est davantage boisé, les terres ayant été annexées sur le territoire forestier de Boulogne. Au centre, aux abords de la rivière qui traverse le parc, ce ne sont que marécages …
Au XVIe siècle, les aménagements se concentrent sur les abords immédiats du château. Les crues régulières du Cosson et l’insalubrité du site qui entoure la nouvelle demeure du roi François 1er créent des difficultés de circulation. Les fièvres de Sologne (paludisme) déciment la population chambourdine pendant la belle saison. Ainsi, le souverain, comme ses successeurs, vient généralement à Chambord en automne ou en hiver…
François 1er imagine plusieurs projets pour assainir le territoire, notamment la canalisation du Cosson ou l’idée (trop) ambitieuse de détourner une partie du cours de la Loire jusqu’à Chambord. Mais rien n’est fait, ou presque, si bien que la nature reprend constamment ses droits.
Ce n’est qu’entre 1680 et 1750 que des travaux de grande ampleur sont prévus puis réalisés pour assainir définitivement les abords du monument. Gaston d’Orléans, Louis XIV, Stanislas Leszczynski puis le Maréchal de Saxe, réalisent d’importants travaux hydrauliques, tout en aménageant des jardins sur les nouveaux parterres au nord et à l’est du château.
Le reste du parc est essentiellement aménagé entre le milieu du XVIIIe siècle et la fin du XIXe siècle. Le Maréchal de Saxe, en premier lieu, emploie des sommes considérables, ponctionnées sur le Trésor royal, pour créer des routes et allées forestières destinées à faciliter les déplacements dans le parc lors des chasses à courre. Il fait également réparer le mur de clôture ou remettre en état les bâtiments du domaine.
Après les coupes abusives réalisées par la veuve du maréchal Berthier entre 1815 et 1817, le comte de Chambord, nouveau propriétaire des lieux, espère tirer quelques revenus de la sylviculture pour faire restaurer le château. Il fait boiser toute la partie nord du domaine. Le parc de Chambord se couvre d’une épaisse forêt de toutes parts …
La gestion raisonnée du domaine menée par l’administration du comte de Chambord, lui a donné sa physionomie actuelle. Véritable conservatoire de la biodiversité, visant au maintien de l'équilibre sylvo-cynégétique, le domaine national abrite un grand nombre d’espèces remarquables sur le plan floristique et faunistique.
Le parc de Chambord est classé réserve nationale de chasse et de faune sauvage depuis 1947, Monument historique depuis 1997 et inscrit au réseau écologique européen Natura 2000 depuis 2006.
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