Dans son jugement d’Hans Fritzsche, qui avait supervisé les activités de radiodiffusion du Ministère de la propagande, le Tribunal n’a trouvé aucune preuve du fait que ses propres programmes antisémites appelaient à l’annihilation des Juifs et a jugé qu’ils ne constituaient donc pas un «crime contre l’humanité». Il a été déclaré non coupable.