Réalisées au Palais idéal, les photographies de Robert Doisneau en noir et blanc dans les années 50 et en couleurs durant les années 70 rendent un hommage émouvant aux générations de visiteurs venus découvrir le Palais idéal depuis son ouverture décidée par le facteur Cheval lui-même en 1905. Ces images retrouvées durant le confinement viennent rencontrer les sculptures de Simone Fattal, et ouvrent une réflexion sur le temps et la mémoire, en regard de l’œuvre du facteur Cheval.