À partir des années 1950, les études de Max Raphaël, Annette Laming-Emperaire et André Leroi-Gourhan élaborent une interprétation structuraliste des grottes ornées. Il ne s’agit plus de rechercher une signification qui nous échappe forcément, mais de saisir la portée symbolique de cet art, sa logique de composition qui permet de proposer, selon Leroi-Gourhan, la « disposition idéale d’un sanctuaire paléolithique ».