En 1915, Jean, qui vient d’avoir dix-huit ans, passe la seconde partie de son baccalauréat en mathématiques. Bon élève, mais avec des résultats assez irrégulier, il obtient son diplôme sans mention. Réformé de l’armée, il s’inscrit en classe préparatoire de mathématiques à la rentrée suivante, au lycée du Parc à Lyon. Il est encore indécis sur la carrière qu’il veut suivre, mais il a été promis à devenir ingénieur, comme son père. La classe préparatoire est donc un passage obligé avant les concours.