Son travail sur le logo et la calligraphie le mène vers d’autres formes d’intervention dans la rue. Il devient, avec Zevs une figure du courant post-graffiti et conçoit une série d’interventions urbaines comme le tracé de boussoles urbaines dont une face au centre Georges Pompidou, réalisée parfois au gaffeur, un de ses outils de prédilection. Une autre de ses techniques consiste à prendre des empreintes des plaques d’égout par contact. L’œuvre de L’Atlas se veut réconciliatrice, entre la ville et l’homme, l’extérieur et l’intérieur. Avec le temps, sa pratique artistique évolue, parallèlement à sa présence dans la rue, vers la conception d’œuvres qui résistent au temps, et qui viennent naturellement s’inscrire, de même que les affiches ou les boussoles au scotch s’inscrivent dans la ville, dans des lieux d’exposition adaptés, sans perdre pour autant l’esprit contestataire et subversif qui les caractérise.
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