Ce calvaire domine la ville depuis trois siècles au-dessus des jardins de la Maison Diocésaine. Il constituait sous l'Ancien Régime la dernière étape d'un chemin de croix urbain qui partait de l'église Sainte-Croix, près de la cathédrale Saint-Jean et faisait station dans les différents lieux de culte rencontrés en chemin. C'est un des très rares calvaires en centre ville au monde.