Depuis les années 1950, la mine offrait des possibilités d'emploi à des travailleurs immigrés en provenance
d'Espagne, d'Italie ou encore de Turquie. Le « miracle économique » de la RFA réclamait toujours plus de travailleurs qui s'installaient à long terme en Allemagne. Dans un premier temps, les conditions de travail et de vie des immigrés étaient cependant très modestes.