En 2000, Nasty commence à peindre sur les plaques émaillées du métro parisien, intervenant sur un élément incontournable de la signalétique urbaine. Il souligne à l’époque la difficulté d’intervenir sur un signe fort et déjà graphiquement très étudié. Cohérence, harmonie mais aussi contrastes et impact visuel immédiat sont les buts rechercher de ses lettrages, perpétuant ainsi l’esprit originel du graffiti.
Son parcours depuis 1988 a été retracé dans un livre publié aux éditions Alternatives: «Nasty & Slice, Artistes en cavale». Plus récemment, Arte lui a consacré un documentaire de 26 minutes, dans l’Art & la Manière, visible sur Youtube et DailyMotion