Noce d'Eau

Photo: Joris-Jan Bos

Choreographer: Philippe Theret

Philip Theret’s first work for NDT is called 'Noce d'Eau' (Water wedding). This ballet was made for all 14 dancers of NDT 2.

'Noce d'Eau'

“Les ténèbres s'éclaricissent et le rêve de la jeune fille prend corps. Elle fête avec l'amour tant desire ses noces d'eau, comme on feterait des noces d'or ou d'argent. Elles sont seulement plus fragiles, plus inquiètes, presque adolescentes.

Dans un décor très sobre ou contrastent le mouvement et la fluidité de l'eau la rigidité angulaire que forment les structures de verre qui la contiennent.

Les corps se font parfois violence en exacerbant des sentiments d'une energie tantot désespérée, tantôt abandonnée.

Quelquefois l'eau oblige à des chemins qu'il faut emprunter, en définissant ainsi, l'espace d'un temps le défi d l'amour a la promesse d'une vie.

Les corps, alors, se font douceur, en proposant des sentiments d'une énergie subtile et raffinée.

Il nous restera, je l'espère, en sortant de ce rêve qu'aura mis en lumière le 1ère Symphonie d'Henri Dutilleux, à réfléchir sur le destin que l'on réserve aux valeurs humaines.”

Philippe Trehet

Freely translated:

‘The Water Wedding’

“The darkness clears up and the girl's dream comes true. With the coveted love, she celebrates her water wedding, just as one would celebrate a golden or a silver wedding celebration. Only this is more fragile, restless, almost adolescent.

In an extremely sober decor, the movement and fluidity of the water form a contrast with the angular strictness of the glass structures encompassing it.

The bodies violate themselves with an energy that is sometimes desperate, sometimes full of commitment.

Sometimes the challenge of love that determines the promise of a life is forced by the water to follow a certain current.

Then bodies become soft and sweet, evoking feelings with subtle, refined energy.

When we awaken from this dream, to the sounds of the ‘First Symphony’ by Henri Dutilleux, I hope it has voted to reflect on the fate that is reserved for human values.”

Philippe Trehet