Ferdinand Cheval devant sa façade Ouest, en cours de réalisation, les niches ne sont pas encore ornées, mais déjà sur les colonnes de style classique, il écrit les lettres : C H E V A L, en guise de signature de son oeuvre. Les ouvertures mènent dans le long couloir intérieur, qu'il nomme Galerie, peuplé d'un bestiaire extraordinaire : dromadaire, ours, éléphant, chat, loup, flamant sont modelés en bas-reliefs. Le poème Ton idéal, ton Palais, de Emile Roux-Parassac, et inspirant le nom du monument au facteur Cheval, est inscrit à l'entrée de cette Galerie.