Ma chère Elisabeth,
Je te remercie infiniment de tes deux cartes cartes mais je te prie instamment de
ne pas m'en envoyer sans rien mettre dessus, je tiens plus à ce que tu me dis
qu'aux cartes, quoique j'ai beaucoup de peine à te déchiffrer. Nous sommes en
pleines vendanges et nous avons un temps superbe. Il y a des morceaux très
jolis qui ont beaucoup de raisins et d'autres très peu, ce qui a gelé.
Est-ce que tu n'as plus d'adresses à me faire passer ?
Taty n'y met pas beaucoup d'empressement.
Amitiés,
Jeanne
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