Sébastien Preschoux (1974) oeuvre aux limites de l’art urbain et de l’art optico-cinétique tout en se réclamant des enseignements du Bauhaus. Son travail tourne principalement autour de la ligne, de sa répétition et des effets que sa démultiplication et sa déformation génèrent, créant ainsi un ensemble immersif, presque hypnotique pour le spectateur. Après plusieurs années de pratique sur toile, ses créations atteignent une troisième dimension lors d’installations de fils tendus dans l’espace public, notamment à Paris où en 2016, il intervient pour la Nuit Blanche. De façon pérenne, il a aussi investi en 2019 un espace extérieur de la Défense. Ce dialogue amène le spectateur à prendre part à l’oeuvre, fait essentiel car « la cinétique n’existe que si interagit avec l’oeuvre » partage l’artiste.
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