Dès le 17e siècle, Paimbœuf accueille les navires de plus de 200 tonneaux qui ne peuvent remonter la Loire jusqu'à Nantes. Au 18e siècle, c'est son principal avant-port. Entre les deux villes, 4 000 à 4 500 voyages annuels de gabarres et navires à fond plat assurent le trafic, déchargeant les vaisseaux de leur cargaison rapportée des colonies.