On peut ici admirer le poste, restauré, du mécanicien qui conduisait la machine et se tenait toujours à gauche de la cabine de conduite. Le chauffeur, qui se tenait à droite de la cabine de conduite, s'occupait de faire chauffer la machine en l'alimentant en eau et en charbon.
Il pelletait ce dernier à la force de ses bras. Pour un trajet de 300 km, entre Paris et Calais, il fallait compter entre 6 et 9 tonnes de charbon.
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