Non, les Bretons ne sont pas si fous De se quitter sans boire un coup , Il n�était pas un foyer, si pauvre fut-il, où l�on n�égorgeat un cochon entre Noël et le mercredi des Cendres. Le jour même avait lieu un premier festin où l�on mangeait les abats qui ne demandaient pas une longue préparation. Les boudins ne se mangeaient que le dimanche suivant l�abattage ainsi que tout ce qui ne pouvait être salé ou fumé. c�était le fest ar goadegennou où seuls les parents et amis éprouvés étaient invités.