Les carnets des chansons des Ombres sont les seuls souvenirs de représentations données à l’École polytechnique, consistant à projeter l’ombre de marionnettes sur un drap blanc dans l’amphithéâtre plongé dans le noir. Chaque « Ombre » caricaturale est accompagnée d’une chanson, d’un poème ou d’un discours souvent moqueur ou irrévérencieux.