SKKI expose en galerie pour la première fois en 1990 à Berlin où il peint aussi sur le fameux mur de 1987 jusqu’à sa chute en 1989. Son travail aujourd’hui a pris une direction néo-conceptuelle n’ayant plus nécessairement de liens esthétiques avec le graffiti traditionnel. Il utilise la vidéo, la sculpture, la peinture, l’écriture (à la bombe de peinture ou sous forme de néons) ou l’impression digitale sur format pvc gigantesque de photos « samplées » sur le web et les réseaux sociaux…SKKI s’amuse en permanence à questionner les multiples contradictions et autres scandales qui taraudent notre société contemporaine.