Claude Debussy est séduit par l'art japonais qui inonde le marché européen, comme celui des arts de l’Extrême-Orient apparu aux Expositions universelles de 1855 et de 1878, ainsi que par l'apport de grands connaisseurs tels Théodore Duret. Il acquiert aussi bien estampes, céramiques, meubles ou porte-plume et pot à pinceau de bambou à la Maison des bambous à Paris. A ce titre, le peintre Henry Lerolle a probablement dessiné sur les instructions du compositeur, une table d’esprit japonisant. Claude Debussy avait en effet choisi de travailler sur un simple plateau de chêne, posé sur quatre pieds à entretoises, le tout évoquant l’architecture de bois japonaise.
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