Les premiers explorateurs utilisaient, pour calculer leur position, sextant et chronomètre. Il leur fallait de plus utiliser un horizon artificiel (une assiette remplie de mercure, à cette époque) car la banquise de l’Océan Arctique n’est jamais plane, l’horizon étant bouché par les nombreuses crêtes de compressions dues au chevauchement des plaques de glace qui s’entrechoquent sous l’action de la dérive.
Expédition Tara Arctic 2006-2008