Un charbonnier de Saint-Nazaire... se lamentait de souffrances intolérables à l'estomac. Il ne pouvait manger et dépérissait. La Tabar prit des racines de gouet, les brisa dans ses doigts, les posa sur la poitrine de l'homme, frotta énergiquement et les y maintint le plus longtemps possible. L'homme crispait les poings et grondait de fureur. Enfin il se leva. L'actioon de l'herbe avait produit des vésicules et des boutons. source: Charles Géniaux dans La vieille France qui s'en va.