Les mineurs devaient parfois parcourir de longues distances à pied, entre leur dortoir ou maison et la mine. Avec leurs semelles dures à picots d'acier, ils traversaient des parties de sentiers encore connus aujourd'hui de la forêt Saarkohlenwald, et ont été surnommés « Hartfüßler » (pieds durs). Par temps de verglas et de neige, ces chaussures de travail lourdes et stables étaient enveloppées de toile de jute, pour offrir un meilleur maintien sur le long trajet du travail.