Visite virtuelle : Site Patrimonial Green Gables

Bienvenue à un des monuments littéraires les plus remarquables du Canada

Conception : Parcs Canada

Famille Montgomery

Site Patrimonial Green GablesParcs Canada

Suivez Anne à l'intérieur de la maison historique

Le site patrimonial Green Gables est devenu célèbre dans le monde entier : il a été la source d’inspiration du roman classique de L. M. Montgomery intitulé Anne… la maison aux pignons verts. Il est situé à Cavendish, à l’Île-du-Prince-Édouard, au Canada.

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Le saviez-vous?

Cette ferme était la résidence de David Jr. et Margaret Macneill, cousins du grand-père Montgomery. Elle a été aménagée à l’origine en 1831 par David Macneill père. Bien qu’elle n’ait jamais vécu ici, Lucy Maud Montgomery a grandi auprès de ses grands-parents et connaissait bien cet endroit.

La maison et le paysage environnant ont inspiré l’intrigue du roman de Lucy Maud Montgomery. Anne, petite fille orpheline de 11 ans, est envoyée chez Matthew et Marilla Cuthbert, un frère et une sœur tous deux âgés, qui avaient décidé d’adopter un garçon pour les aider sur la ferme.


La maison de ferme d’origine a été minutieusement restaurée et décorée de façon à reproduire les détails du roman de Lucy Maud Montgomery et représenter l’époque à laquelle l’histoire se déroule, et ce jusqu’à l’ameublement des pièces.

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L'expérience au Site Patrimonial Green Gables

Ce site patrimonial est exploité par Parcs Canada. Le visiteur peut faire une visite guidée de la maison, visiter des expositions interactives au centre d’accueil, se promener sur les terrains et les sentiers que Lucy Maud Montgomery empruntait autrefois et participer à des activités en compagnie d’Anne et d’autres personnages.

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Entrez dans Green Gables 

Dans la maison, plongez dans l’univers de la romancière et le mode de vie de la fin de l’ère victorienne tout en découvrant les pièces, l’ameublement et diverses autres caractéristiques de la maison. 

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Le salon, Site Patrimonial Green Gables
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Le salon

Voici le salon qui servait à recevoir les invités importants, comme le ministre du culte quand il passait prendre le thé. Il est meublé dans un style plus recherché que celui de la plupart des pièces de la maison. Anne n’y recevait pas ses invités!

Meubles en crin de cheval, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Meubles en crin de cheval 

À l’époque victorienne, le tissu en crin, comme celui de ce petit canapé, servait souvent à recouvrir l’ameublement parce que c’était un matériau résistant et peu coûteux. Anne avait l’habitude de prendre le thé avec Diane au salon, mais Marilla Cuthbert disait que « le petit salon convenait très bien pour les filles l’après-midi ».

Prières du soir, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Lucy Maud MontgomeryParcs Canada

Prières du soir 

Les photos d’enfants faisant leurs prières, comme celle provenant de la famille Herald et du Weekly Star (Montréal, Canada), étaient courantes dans les années 1800. Avant sa première nuit à Green Gables, Anne a fait sa prière et l’a terminée en disant les mots « Salutations respectueuses » et non « Amen », à la grande surprise de Marilla.

Orgue à pompe, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Orgue à pompe 

À la fin des années 1800, on trouvait souvent des orgues à soufflerie manuelle dans les maisons privées et les petites églises. D’habitude, celles des familles se trouvaient dans le salon. Lucy Maud Montgomery jouait l’orgue à soufflerie manuelle de l’église presbytérienne de Cavendish, là elle a rencontré son futur mari, le révérend Ewen Macdonald.

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Salle à manger, Site Patrimonial Green Gables
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Salle à manger 

La salle à manger servait à recevoir les invités spéciaux. On y trouvait du mobilier décoratif, une élégante table à manger et de la porcelaine fine. C’est dans cette pièce qu’Anne recevait Diana pour l’heure du thé, qui a si mal tourné!

Plat à fromage, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Plat à fromage 

Dans les années 1800 et jusqu’à l’arrivée du réfrigérateur domestique en 1913, l’une des façons répandues de conserver le fromage et de l’empêcher de se gâter était de le laisser sur un plat en céramique ou une cloche à fromage. Madame Rachel Lynde aurait conservé son fromage primé sous une cloche à fromage quand elle n’était pas à l’exposition agricole.

Concertina, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Concertina 

La concertina était un instrument de musique répandu dans le milieu des années 1800. Cet instrument ressemble à un accordéon, mais sa forme est hexagonale plutôt que rectangulaire. Les notes sont actionnées par des boutons plutôt que des touches.

Les leçons de musique de Diana étaient payées par sa tante. Mais il est peu probable que celle-ci assumait aussi le coût des leçons de concertina, car la vieille demoiselle Barry s’imaginait donner des concerts de chant à l’académie de musique.

Stéréoscope, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Stéréoscope

Inventé au début des années 1830, le stéréoscope a été le premier appareil d’observation des photos en 3D. Cet appareil permet de donner vie à des images en présentant une même scène de points de vue légèrement différents à l’œil droit et l’œil gauche en même temps. Il était très recherché à la fois des adultes et des enfants!

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La chambre de Mathieu, Site Patrimonial Green Gables
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La chambre de Matthew

Voici la chambre de Matthew. Matthew avait une maladie cardiaque qui rendait difficile la montée des escaliers. On lui a donc réservé la chambre à coucher du rez-de-chaussée. Il n’était pas rare de trouver des chambres cuisines dans les maisons. Situées près du poêle à bois chaud, elles convenaient parfaitement bien aux personnes âgées, aux malades et même aux femmes enceintes.

La canne de Matthew, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

La canne de Matthew 

Travaillant fort, Matthew se servait d’un bâton de marche comme canne pour s’appuyer en marchant de temps à autre. Autrefois, le bâton de marche était un accessoire de mode et un symbole de prestige. Il est par la suite devenu une aide à la marche pour les personnes âgées, les blessés et les personnes handicapées.

Matthew tout endimanché, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Matthew tout endimanché 

Dans les années 1800, les gens modestes avaient peu de vêtements. La plupart avaient un habit du dimanche, des vêtements de travail ou de corvées et des vêtements de nuit. Matthew portait son collet blanc pour les occasions spéciales, comme le jour où il est allé à la rencontre d’Anne à la gare ou lorsque le pasteur passait à la maison.

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La cuisine, Site Patrimonial Green Gables
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Cuisine

Comme c’est encore le cas aujourd’hui, la cuisine était le centre de la maison victorienne. On y trouve le poêle à bois qui fournit la chaleur et l’eau chaude nécessaires pour les tâches ménagères, la cuisine, la boulangerie et le bain. La famille prenait la plus grande partie de ses repas dans la cuisine et la plupart des aires de travail communes qui se trouvaient ici ou à proximité.

Fourneau de cuisine, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Fourneau de cuisine 

L’ancien poêle Waterloo de Marilla était plutôt un luxe à la fin des années 1800. Ce nouveau modèle no 2 a été fabriqué à Sackville, au Nouveau-Brunswick. Le bois, qui brûlait dans le compartiment inférieur, chauffait les surfaces de cuisson et le four à cuisson (étage supérieur) et chauffait la maison.

Chaise longue, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Lit de repos 

Au milieu des années 1800, la méridienne (ou lit de jour) était un meuble à la mode. Selon une théorie, ce canapé incurvé servait de lit de récupération aux femmes qui s’évanouissaient à cause de leurs corsets très serrés. Les canapés de cuisine étaient très utiles aux personnes malades et très invitants pour la sieste!

Coffre à bois, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Coffre à bois 

La boîte à bois servait à conserver le bois qui alimentait le poêle. Le four à bois des maisons victoriennes devait chauffer en continu (même en été); la réserve de bois à l’intérieur de la maison a rendu la tâche un peu plus facile. Le bois provenait de la pile de bois à l’extérieur de la maison ou du hangar à bois.

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Laitier, Site Patrimonial Green Gables
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Laiterie

La laiterie était l’une des deux salles de travail à côté de la cuisine. Elle servait à faire les travaux domestiques salissantes, comme à faire du beurre ou fromage, faire la lessive et laver la vaisselle. C’est là où Anne aidait Marilla à faire les tâches domestiques intérieures.

Baratte à beurre, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Baratte à beurre 

La baratte était un instrument servant à battre la crème de lait pour en extraire le beurre. Cette baratte verticale à batte était le modèle le plus répondu. Mais il existait aussi la baratte flamande, la baratte à baril et la baratte dite berce. Le beurre se forme à mesure que le piston rentre dans la partie supérieure de la baratte et monte et descend en continu dans la crème.

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Le garde-manger, Site Patrimonial Green Gables
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Garde-manger 

Le garde-manger est la deuxième salle de travail situé à côté de la cuisine. Il sert à conserver l’épicerie sèche, la vaisselle propre et les ustensiles de cuisson. Situé près du poêle à bois, le garde-manger était une salle de travail qui pouvait servir à préparer des aliments ou à faire d’autres tâches ménagères.
 

Piège à souris, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Piège à souris 

Au XIXe siècle, des pièges à souris comme ceux-ci sont placés dans la maison pour attraper de nombreux rongeurs à la fois. Le garde-manger, où l’on entrepose du sucre, de la mélasse, de la farine et bien d’autres ingrédients, est un endroit particulièrement alléchant pour les rongeurs. Il est toujours préférable de trouver une souris dans un piège plutôt que noyée dans le pudding!

Fers à repasser, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Fers à repasser 

Le repassage était un dur travail. Les fers à poignée amovible, qui étaient en métal massif; pouvaient peser jusqu’à 4 kg. Il fallait les chauffer sur un feu ou sur la cuisinière. Ce modèle plus léger, appelé fer à gaufrer, servait à repasser les collets de robes et les chemises.

Ancienne balayeuse, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Ancienne balayeuse 

Dans les années 1800, certains fabricants ont commencé à produire des tapis plus abordables; on a donc commencé à en trouver plus souvent dans les maisons ordinaires. Pas surprenant que les balais mécaniques soient devenus des outils domestiques en vogue. Ils ont rendu le nettoyage des tapis tellement plus facile.

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La cuisine, Site patrimonial Green Gables
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Cuisine 

La cuisine était la plus grande pièce du rez-de-chaussée et la plus fréquentée parce qu’elle était la pièce la plus chaude de la maison. Les activités familiales quotidiennes, les repas et les corvées domestiques y avaient lieu. Matthew et Marilla prenaient ici le thé avec leurs proches amis comme Rachel Lynde.

Dénoyauteur pour cerises, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Dénoyauteur pour cerises 

De nombreux instruments de cuisine simples ont été conçus et perfectionnés à la fin des années 1800. Les dénoyauteurs en fonte comme celui-ci servaient à enlever les noyaux de cerises sans écraser les fruits. Au début, ces instruments étaient très recherchés. Mais ils n’ont pas probablement pas permis de gagner beaucoup de temps quand on faisait des conserves ou des tartes.

Éplucheur à pommes, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Éplucheur à pommes 

Les premiers éplucheurs de pommes ont été brevetés au début des années 1800. Ils servaient aussi à éplucher les pommes de terre, car l’épluchage au couteau était une tâche fastidieuse. Pas étonnant que les conserves de pommettes, comme celles de Marilla, étaient recherchées; on laissait la pelure sur les fruits.

Sirop de framboise, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Sirop de framboise

Les boissons aux petits fruits non alcoolisés, comme les liqueurs, étaient répandues dans les années 1800. D’habitude, on les servait dans les occasions spéciales et aux invités spéciaux. Lorsque Diana venait prendre le thé, Anne lui servait habituellement une liqueur de framboises. Malheureusement, le vin de baies qu’elle lui a servi par erreur était une tout autre boisson.

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Hall d'entrée 

C’est l'entrée principale de la maison

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La chambre d'Anne, Site Patrimonial Green Gables
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La chambre d’Anne 

Comme il est précisé dans le roman, la chambre d’Anne se trouvait sous le pignon est de la maison. Après son installation, le style de la chambre a complètement changé et est devenu plus gai et plus vivant.

Robe à manches bouffantes, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Robe à manches bouffantes 

Anne suppliait en vain Marilla de lui donner une robe à manches bouffantes. Matthew avait remarqué que les robes d’Anne étaient différentes de celles des autres filles. Il a donc demandé à Rachel de l’aider à fabriquer une robe à la mode avec des manches bouffantes pour Anne à l’occasion de la fête de Noël!

Sac de voyage d’Anne, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Sac de voyage d’Anne 

Dans les années 1800, le sac tapisserie a été inventé aux fins pratiques, et non pas pour le style. Semblable à la valise d’aujourd’hui, ce sac était un moyen fiable de transporter des objets. Bien que démodé et misérable, le sac tapisserie d’Anne contenait « la totalité de ses biens terrestres ».

Ardoise, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Ardoise 

Dans les années 1800, les enfants apprenaient à écrire avec de petits tableaux d’ardoise parce que le papier était trop coûteux. Un jour à l’école, Gilbert a taquiné Anne et l’a appelée « Carotte! ». En colère, Anne l’a frappé à la tête avec son tableau d’ardoise et l’a cassé. Est-ce étrange qu’elle l’a conservé?

Papier peint, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Papier peint 

Anne adorait les pommiers en fleurs. Elle a montré sa passion dès sa première promenade le long du « chemin blanc des délices ». À son arrivée à la maison aux pignons verts, les murs de la chambre du pignon étaient nus. Anne les imaginait donc décorés d’une tapisserie dorée et argentée. « Plus tard, elle les a recouverts d’un papier à motifs à pommiers en fleurs ».

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La chambre de Marilla, Site Patrimonial Green Gables
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La chambre de Marilla

La chambre de Marilla était aussi propre et rangée qu’elle-même, avec ses modestes biens personnels et son décor délicat. Elle se satisfait de l’essentiel et estimait que « les chambres à coucher servaient à dormir » et non pas pour être encombrées.

Châle de marilla, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Châle de Marilla 

Les châles servaient à se tenir au chaud; ils étaient faits assez à la mode et étaient parfaits lorsqu’un manteau était trop chaud. Marilla portait un châle pour aller à l’église et lorsqu’elle rencontrait l’après-midi les membres de la Ladies’ Aid Society. Elle portait des châles simples à la maison.

Lunettes de Marilla, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Lunettes de Marilla 

Marilla a souvent affirmé avoir les yeux fatigués et des maux de tête. Un spécialiste l’a examinée et lui a dit d’abandonner le travail qui l’épuisait. Marilla devait éviter de pleurer. Elle devait aussi porter des lunettes spéciales pour soulager ses maux de tête et éviter les risques de devenir aveugle.

Broche de Marilla, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Broche de Marilla 

Le bien le plus précieux de Marilla était sa broche en améthyste. Quand celle-ci est disparue, elle a maintenu qu’Anne l’avait égarée. Pour pouvoir assister au pique-nique de l’école du dimanche, Anne a raconté un mensonge et a dit qu’elle l’avait perdue dans le lac Shining Waters. Finalement, la broche a été retrouvée dans le châle de Marilla.


Épingles à cheveux de Marilla, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Épingles à cheveux de Marilla 

Les épingles à cheveux étaient à la mode. Mais Marilla utilisait des épingles en métal plus pratiques pour retenir sa chevelure foncée (et ses mèches grises). Elle portait un « chignon en petit nœud dur ». Les femmes portaient parfois diverses épingles à cheveux selon les occasions.

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Chambre d’amis
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Chambre d’amis 

La chambre d’invité ou d’ami était décorée de façon à plaire à des invités spéciaux. À l’arrivée d’Anne, il était « hors de question que cette chambre serve à une fille abandonnée ». Plus tard, lors d’une visite chez Joséphine Barry, la grand-tante d’Anne vivant à Charlottetown, on a fait l’honneur à Anne de lui permettre de dormir dans le lit peu spacieux de la chambre d’ami. 

Lit à bobines, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Lit à bobines 

Le mobilier avec bobines à chapelet de l’époque victorienne a été créé à la fin des années 1800. Il est encore recherché de nos jours. Les familles s’assuraient que les lits d’invité soient confortables et jolis, mais qu’ils ne le soient pas trop pour que les invités prolongent leur séjour.

Pot de chambre, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Lucy Maud MontgomeryParcs Canada

Pot de chambre 

Avant l’apparition de la plomberie intérieure, on plaçait un pot de chambre sous le lit ou dans une commode de nuit comme solution de rechange à une sortie pour aller à la toilette extérieure. La toilette à chasse d’eau fait son apparition dans les années 1800, mais le pot de chambre est resté répandu jusqu’au milieu des années 1900.

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Passage vers la salle de couture

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La salle de couture, Site Patrimonial Green Gables
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Salle de couture 

La salle de couture servait à faire des vêtements et des objets domestiques. Les principaux travaux de raccommodage qu’Anne devait faire ont peut-être été effectués ailleurs, comme dans la cuisine là où il faisait plus chaud.

Robe en coton, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Robe en coton 

Anne est arrivée à la maison aux pignons verts vêtue d’une petite robe en tissu mi-laine gris-jaune très courte, très serrée et très laide. Marilla lui a donné « trois bonnes robes de qualité, en bon état et utiles, dont l’une d’un bleu affreux ». Anne ne trouvait aucune d’entre elles « jolie ».

Machine à coudre à pédale, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Machine à coudre à pédale 

La machine à coudre à pédalier était actionnée par le pied de l’utilisateur qui poussait un pédalier de haut en bas. On la plaçait souvent près d’une grande fenêtre pour avoir la lumière naturelle. Les femmes confectionnaient la plus grande partie des vêtements de la famille.

Dévidoir parapluie, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Dévidoir parapluie 

Le dévidoir parapluie, apparu dans les années 1600, servait à tenir un écheveau de laine ou de fil dont on souhaitait faire une pelote. On l’appelait ainsi en raison de sa forme qui ressemblait à celle des baleines d’un parapluie. Grâce à cet outil, on n’a plus besoin de demander à quelqu’un de tenir la laine les bras écartés.

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La chambre à coucher du garçon de ferme

Cette pièce était la chambre à coucher du garçon de ferme. Après avoir décidé de garder Anne, les Cuthbert avaient besoin de quelqu’un pour aide Matthew sur la ferme. Cette simple chambre à coucher était tout de même mieux que la grange.

Lit, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Lit 

Le treillis de corde servait à soutenir le matelas en foin et en paille. On le fabriquait à l’aide de cordes entrelacées. Chaque soir, il fallait tendre les cordes pour empêcher le matelas de s’affaisser sur le plancher. Les matelas en paille avaient tendance à attirer les punaises de lit. Comme on dit, dormez bien et pas de puces, pas de punaises!

Boîte à fromage, Site Patrimonial Green Gables (1800/1900), Parcs CanadaParcs Canada

Boîte à fromage

Le fromage est devenu un aliment à la mode dans les années 1800. Il n’est donc pas surprenant qu’à peu près à la même époque sont apparues des boîtes à fromage en bois servant principalement de contenants de transport. Mais celles-ci faisaient aussi d’excellents rangements.

Merci pour la visite!

Transcription audio maintenant disponible.

Si vous avez apprécié votre visite virtuelle, pensez à visiter le site en personne.

Crédits : histoire

Les mots ou les phrases entre guillemets sont extraits du roman intitulé Anne, la maison aux pignons verts. Parcs Canada a obtenu l’autorisation des héritiers de Lucy Maude Montgomery Inc. de publier ce contenu sur Google Arts and Culture.

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Crédits : tous les supports
Il peut arriver que l'histoire présentée ait été créée par un tiers indépendant et qu'elle ne reflète pas toujours la ligne directrice des institutions, répertoriées ci-dessous, qui ont fourni le contenu.
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