Fort de son premier brevet du vélo pour dame déposé en 1871, Emile Viarengo, chevalier de Forville se lance dans l’étude de plusieurs perfectionnements. En 1874, ceux-ci débouchent sur un nouveau brevet d’invention pour un vélo-amazone à roue postérieure motrice. Cette fois, les deux longerons du châssis en fer plat et à traverses de tôle sont écartés afin de contenir les deux variantes du système de transmission. La première à deux manivelles, celles du pédalier et de la roue arrière qui ont été remplacé par deux classiques vilebrequins calés à 180°, l’un équipé de leviers et pédales à l’extérieur du châssis et l’autre formant l’essieu arrière. Tous les deux sont reliés par des bielles montées sur coussinets. La seconde est des plus classiques aujourd’hui, un long pédalier portant deux pignons qui entraînent chacun, via une chaîne mécanique sans fin, les pignons solidaires de l’axe de la roue arrière. Cette dernière transmission est de type direct, sans démultiplication, un tour de pédales donne un tour aux pignons donc un tour de la roue motrice
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