"Éden, Éden, Éden
s’ouvre sur une phrase en caractère tifinagh– touareg. C’est déjà du dessin ;
et en même temps, un des très rares textes s’ouvrant sur des signes d’une langue
et d’une écriture africaines – elle-même peu usitée, peu connue. J’ai fait la phrase
« et maintenant nous ne sommes plus esclaves » – probablement bancale, mais
tant pis. Ce texte délocalise la littérature française. C’est là une fiction entièrement
saharienne." Pierre Guyotat